Et maintenant
Du moins pour l'instant, tout va se passer par ici
C'est ce qui explique que, une semaine après, la petite rue de la permanence P.S. s'est vue bloquée par tout l'effectif de la police municipale. Comme je travaille dans cette rue, ben forcément, j'y suis passé. En tenue de travail... Les regards étaient un peu médusés, c'était assez rigolo.
moment d'entrer dans ma caisse, en face de moi, un homme sort de la sienne.Il me sourit, me salue. Je lui lance : "Bonsoir, vous allez bien ?" C'est ma tactique pour gagner du temps, histoire de mettre un nom et un contexte sur les visages a priori inconnus... C'est dans ma voiture, juste quand Noir Désir se met à brailler que je me rend compte de qui il s'agissait : François Hollande. Devant moi, perdu dans cette ville de province, personne pour l'accueillir...
Etats-Unis : Complications de la fécondation in vitro
ROME, Mardi 12 juillet 2005 (ZENIT.org) – Les complications de la fécondation in vitro font l’objet de cet article de la revue de presse de la Fondation Jérôme Lejeune (www.genethique.org). Après avoir accouché, en 1995, de jumeaux suite à une fécondation in vitro (FIV), une américaine vient de donner naissance, 13 ans après, au troisième enfant conçu le même jour. Ceci est l'aboutissement d'un long parcours. En effet, Debbie et Kent Beasley ont eu le malheur de constater qu'ils avaient fait confiance à un médecin escroc, Ricardo Asch, qui n'hésitait pas à utiliser les ovules ou les embryons d'une femme pour une autre, sans le consentement de la première, ou les envoyer à des laboratoires pour la recherche. C'est ainsi que le couple n'a retrouvé que 8 de ses 12 embryons congelés, les autres ayant été donnés à la recherche. Les parents ont été particulièrement choqués, car ils reconnaissent chaque embryon comme un être humain, et n'approuvent pas la recherche médicale utilisant des embryons.En 1996, Debbie a fait une autre tentative d'implantation, mais elle a fait une allergie au Lupron, un médicament de contrôle de l'ovulation, et a failli en mourir. Il lui fallut 7 ans pour s'en remettre. Jouant de malheur, le couple, changeant de médecin, tombe sur le Dr Steven Latz, qui a fait l'objet d'un scandale lors d'une implantation d'embryons, en se trompant de mère, et n'a prévenu les parents respectifs qu'un an après. Mais le couple a continué à lui faire confiance, malgré tout.Ce n'est qu'en 2004 que Debbie s'est sentie suffisamment forte pour tenter l'aventure de la grossesse une nouvelle fois, malgré l'opposition de son mari, déjà grand-père 6 fois, d'un premier mariage. Sur les 6 embryons restant, 4 ont résisté à la décongélation. Ils ont tous été implantés dans l'utérus de Debbie : "Bienvenue à la maison !" leur aurait-elle dit. Le 4 février dernier une petite fille est née, appelée Laina.
Sources : BioEdge 11/07/2005 - LifeNews 27/07/2005
Living in a so marvellous world...
Cinq jours de camp avec les 6° et les 5° de l'aumônerie. J'aide à charger le matériel.
moi : "C'est quoi ce carton marqué CK ?"
elle : "Ben Canoë-Kayak... que veux-tu que ce soit d'autre ?"
moi : "Hem... Calvin Klein ?"
elle (rigolarde) : "Je vois..."
J'aime pas le Canoë, et j'aime pas le Kayak.
Mlle T., en fait, s'appelle Thérèse. C'est une femme assez curieuse, insaisissable. Elle vivait seule avec sa soeur qui l'a quittée, morte d'un cancer il y a quelques années. Tout ce que je sais, c'est qu'elle a un frère au Canada, et un autre plus près, mais qui donne encore moins de nouvelles. Thérèse est seule. Dans sa grande maison, et dans sa tête. Elle est pauvre. Vraiment. Et fière, beaucoup trop. Dans sa maison, elle n'a ni eau, ni électricité : elle va la nuit dans les fontaines publiques pour aller chercher de quoi boire, se laver et faire son ménage. Comme toute demoiselle qui se respecte, Thérèse a cinq chats qui font la loi et qui règnent en despotes dans sa maison.
15000 euros, c'est quand même pas donné. Mais vous savez ce que c'est avec les enchères : on donne un prix et paf ! on se fait rafler la mise sous le nez, alors on augmente encore et on finit pas entrer dans une espèce de cercle vicieux. Il nous faut l'objet convoité à tout prix : il y va de l'honneur, du caprice, bref, la bataille est rude.
J'avais vraiment pas envie d'y aller.